cette forte odeur, que j'abhorrais, que j'abhorre toujours, d'où me vient peut-être ma répugnance des paradis artificiels
il évoquerait l'été de ses dix ans comme un paradis perdu, enfoui, qu'il chercherait en vain à exhumer
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urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.