Joseph, que je lui dis, t’es un grand sans-cœur, ni plus ni moins. T’as vu, aujourd’hui, les voisins travailler chez nous, à faire les foins ; tu sais à cause de quoi ? C’est par rapport à toi, tout bonnement. Pendant qu’on suait, t’étais couché et tu te reposais de ta veillée et de toutes tes extravagances
Les femmes du coin trouvaient ça triste parce qu’une mère orpheline ça fait pleurer n’importe qui, même les sans-cœur
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