Ensemble d'arbres, feuillage ou branchage faisant obstacle à la lumière du soleil et produisant de l'ombre; cette ombre. Ombrages épais, verts. « de petits frênes souffreteux, des érables nains, jetaient çà et là des lambeaux d'ombrages que nous recherchions avec avidité » noticeLouis_Fréchette.bio.xmlLouis_Fréchette_bio_xmlLouis FréchetteOriginaux et détraquésMontréal, Éditions du Jour, 1972, 285 p. [1re éd., 1892] javascript:return naviguerVers('')(L. Fréchette, 1892). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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(expressions) Faire, porter ombrage à qqn, l'indisposer, lui inspirer de l'inquiétude; lui nuire. infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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Prendre ombrage de qqch. : s'inquiéter, s'offusquer de qqch. « On se moquait de lui, mais avec tellement de chaleur qu'il ne songeait pas à en prendre ombrage » noticeGilles_Archambault.bio.xmlGilles_Archambault_bio_xmlGilles ArchambaultLa fuite immobileMontréal, Éditions Alain Stanké, 1982, 180 p. [1re éd., 1974] javascript:return naviguerVers('')(G. Archambault, 1974).