encadrer [ɑ̃kɑdʀe] v.
1 V. tr. dir. Entourer d'un cadre; mettre dans un cadre. Faire encadrer une photographie, un tableau. Diplômes encadrés.
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iron. et fam. Être à encadrer : mériter d’être retenu ou porté à l’attention d’autrui par sa sottise, son ridicule.
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fig. et fam. Ne pas pouvoir encadrer qqn : éprouver de l'antipathie pour qqn. 2 V. tr. dir. Entourer à la manière d'un cadre (qui isole, souligne, fait ressortir, maintient ou appuie qqch.). Lac encadré de deux montagnes. De « longs cheveux roux qui encadraient un visage tout rose à l'expression naïve et appliquée » (Y. Beauchemin, 1989).
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par anal. Se tenir de part et d'autre de qqn pour le garder. « Deux petites filles [...] viennent de surgir de chaque côté de Perceval pour l'encadrer et le défendre » (A. Hébert, 1982).
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V. pron. s'encadrer. Se placer comme dans un cadre. « Le lendemain, j'eus le bonheur de voir le soleil s'encadrer entre deux épinettes géantes » (J. O'Neil, 1989). 3 V. tr. dir. milit. Régler le tir sur un objectif de façon à répartir les coups tout autour. 4 V. tr. dir. Diriger, organiser le commandement d’une troupe, la formation ou le travail du personnel.
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dirigerorganiser.Encadrer de nouveaux employés. Personnel bien, mal, peu encadré.
CONJUGAISON
MEQ - AC