gicler [ʒikle] v.
V. intr. (liquides) Jaillir en éclaboussant. « L'eau giclait lorsqu'un véhicule me dépassait » (D. Demers, 1992).
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V. tr. indir.
gicler de, par, etc. Jus qui gicle d'un citron pressé. « le sang gicla par une longue éraflure au front » (G. Godin, 1990).
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par ext.; littér. « Les lumières giclent de partout, le bruit est infernal, l'eau tombe si raide et verticale qu'elle en devient une arme offensive » (M. Proulx, 1996).
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V. tr. indir. gicler dans, sur, etc. Lave-vitre qui gicle sur le pare-brise. « Le fou de Bassan [...] ne ferme ses ailes qu'au moment de toucher l'eau, faisant gicler dans l'air un nuage d'écume » (A. Hébert, 1982).
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par ext.; littér. « Soudain, un vent sans nom gicle dans l'espace » (G. Langevin, 1997).
gicler de, par, etc. Jus qui gicle d'un citron pressé. « le sang gicla par une longue éraflure au front » (G. Godin, 1990).
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par ext.; littér. « Les lumières giclent de partout, le bruit est infernal, l'eau tombe si raide et verticale qu'elle en devient une arme offensive » (M. Proulx, 1996).
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V. tr. indir. gicler dans, sur, etc. Lave-vitre qui gicle sur le pare-brise. « Le fou de Bassan [...] ne ferme ses ailes qu'au moment de toucher l'eau, faisant gicler dans l'air un nuage d'écume » (A. Hébert, 1982).
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par ext.; littér. « Soudain, un vent sans nom gicle dans l'espace » (G. Langevin, 1997). 
CONJUGAISON
MEQ - AC