percher [pɛʀʃe] v.
I V. tr. indir.
percher sur ou v. pron. se percher sur. Se poser, se tenir sur un perchoir, une branche, etc., ou, plus généralement, à un endroit élevé, en parlant d'un oiseau. Merle qui perche sur ou qui se perche sur un piquet de clôture. « la colombe revint sagement se percher sur l'épaule du magicien » (N. Audet, 2002).
percher sur ou v. pron. se percher sur. Se poser, se tenir sur un perchoir, une branche, etc., ou, plus généralement, à un endroit élevé, en parlant d'un oiseau. Merle qui perche sur ou qui se perche sur un piquet de clôture. « la colombe revint sagement se percher sur l'épaule du magicien » (N. Audet, 2002). II par anal., fam. 1 (personnes)
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V. pron. se percher sur. S’installer à un endroit élevé.
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se jucher sur. Enfants qui se perchent sur un toit. « Napoléon, le dos tourné, contemplait la photo de son père perché sur une bicyclette » (R. Lemelin, 1948).
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V. tr. indir. percher à. Loger dans (un endroit élevé); par ext. habiter. Percher au dixième étage. Je « suis [...] descendu au bar de l'hôtel où nous perchions » (G. Archambault, 1970). 2 V. tr. dir. Placer, mettre qqch. dans une position, dans un endroit élevé. Percher une boîte sur la plus haute tablette.
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fig. Percher sa voix : forcer sa voix dans un registre aigu. « quelque chose ne tournait pas rond [...] Il avait beau percher sa voix plus haut qu'à l'accoutumée, elle entendait de la détresse » (A. Cousture, 1986).
percher à. Loger dans (un endroit élevé); par ext. habiter. Percher au dixième étage. Je « suis [...] descendu au bar de l'hôtel où nous perchions » (G. Archambault, 1970). 2 V. tr. dir. Placer, mettre qqch. dans une position, dans un endroit élevé. Percher une boîte sur la plus haute tablette.
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fig. Percher sa voix : forcer sa voix dans un registre aigu. « quelque chose ne tournait pas rond [...] Il avait beau percher sa voix plus haut qu'à l'accoutumée, elle entendait de la détresse » (A. Cousture, 1986). 
CONJUGAISON
MEQ - AC
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