pitonner [pitɔne] v.
I V. intr. Planter des pitons dans le rocher, dans la
glace pour faciliter l'escalade.
II Q/C fam. 1 V. intr. Presser une touche, un bouton, un piton (pour
activer un mécanisme, un appareil); appuyer sur les touches d’un
clavier.
⇒
pianoter. Pitonner toute la journée. « Il pitonne avec une dextérité à faire
verdir d'envie la secrétaire » (Le Devoir, 2000).
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V. tr. indir.
pitonner sur. Pitonner sur un clavier, une
calculatrice. Pitonner sur un ordinateur. « Des gens lisaient un journal ou un livre, beaucoup fixaient un point neutre dans l’espace pour se faire oublier, les autres pitonnaient sur des jeux d’adresse miniatures sans jamais cligner des yeux » (M. Raymond Bock, 2017).
‒
(emploi tr. dir.) Pitonner un numéro. Des textos pitonnés d'une main
agile. 2 V. intr. Passer rapidement d’une chaîne de télévision à
une autre en appuyant sur les touches d’une
télécommande.
⇒
zapper. « À la maison, on pitonne à l'arrivée de la
pause commerciale » (La Presse, 1991).
pitonner sur. Pitonner sur un clavier, une
calculatrice. Pitonner sur un ordinateur. « Des gens lisaient un journal ou un livre, beaucoup fixaient un point neutre dans l’espace pour se faire oublier, les autres pitonnaient sur des jeux d’adresse miniatures sans jamais cligner des yeux » (M. Raymond Bock, 2017).
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(emploi tr. dir.) Pitonner un numéro. Des textos pitonnés d'une main
agile. 2 V. intr. Passer rapidement d’une chaîne de télévision à
une autre en appuyant sur les touches d’une
télécommande.
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zapper. « À la maison, on pitonne à l'arrivée de la
pause commerciale » (La Presse, 1991). 
CONJUGAISON