reculer [ʀəkyle] v.
I V. intr. et v. tr. indir.
1 V. intr. Aller en arrière (anton. : avancer). Camion qui recule. « je m'approche suffisamment pour lui donner envie de reculer mais il ne recule pas, il ne recule jamais » (M. Proulx, 1993).
‒
Reculer pour mieux sauter : aller en arrière afin de prendre de l'élan pour mieux sauter; fig. éviter une difficulté qu’on devra éventuellement affronter ou faire des concessions pour être en meilleure position à l'avenir.
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V. tr. indir. reculer de. « Se glissant contre le mur, elle recula de quelques pas, toujours silencieuse » (Y. Beauchemin, 1989).
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V. tr. indir. (temps)
‒
reculer de. Reculer de dix ans.
‒
reculer dans. « J'aurais voulu reculer dans le temps, remonter ma chronologie » (Ch. Mistral, 1988). 2 V. intr. fig. (choses) Régresser.
⇒
régresserrétrograder. La mortalité recule.
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V. tr. indir. reculer de. Le taux de chômage a reculé de 2 %. 3 V. intr. fig. Renoncer à ses intentions, à ses ambitions; faire marche arrière.
⇒
abandonner. C'est trop tard, on ne peut plus reculer. « La crainte des échecs et des répercussions nous fit reculer » (G.-É. Lapalme, 1970).
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V. tr. indir. reculer devant. Ne pas vouloir faire face à; fuir, s'effacer devant qqn, qqch. Reculer devant l'autorité. Reculer devant les obstacles. « On laissa le passage libre, reculant devant lui » (R. Carrier, 1968).
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(en constr. nég.) Ne reculer devant rien : être prêt à tout pour parvenir à ses fins.
1 V. intr. Aller en arrière (anton. : avancer). Camion qui recule. « je m'approche suffisamment pour lui donner envie de reculer mais il ne recule pas, il ne recule jamais » (M. Proulx, 1993).
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Reculer pour mieux sauter : aller en arrière afin de prendre de l'élan pour mieux sauter; fig. éviter une difficulté qu’on devra éventuellement affronter ou faire des concessions pour être en meilleure position à l'avenir.
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V. tr. indir. reculer de. « Se glissant contre le mur, elle recula de quelques pas, toujours silencieuse » (Y. Beauchemin, 1989).
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V. tr. indir. (temps)
‒
reculer de. Reculer de dix ans.
‒
reculer dans. « J'aurais voulu reculer dans le temps, remonter ma chronologie » (Ch. Mistral, 1988). 2 V. intr. fig. (choses) Régresser.
⇒
régresserrétrograder. La mortalité recule.
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V. tr. indir. reculer de. Le taux de chômage a reculé de 2 %. 3 V. intr. fig. Renoncer à ses intentions, à ses ambitions; faire marche arrière.
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abandonner. C'est trop tard, on ne peut plus reculer. « La crainte des échecs et des répercussions nous fit reculer » (G.-É. Lapalme, 1970).
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V. tr. indir. reculer devant. Ne pas vouloir faire face à; fuir, s'effacer devant qqn, qqch. Reculer devant l'autorité. Reculer devant les obstacles. « On laissa le passage libre, reculant devant lui » (R. Carrier, 1968).
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(en constr. nég.) Ne reculer devant rien : être prêt à tout pour parvenir à ses fins. II V. tr. dir. 1 Porter, faire aller en arrière. Reculer sa chaise.
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pronom. Se reculer pour laisser de la place.
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(temps) Reculer l'heure. Reculer sa montre. 2 Mettre plus loin par rapport à une position initiale. Reculer un mur. 3 Remettre à plus tard, différer.
⇒
ajourner, retarder. « voulions-nous [...] désarmer le malheur, reculer le terrifiant rendez-vous? » (N. Kattan, 1975).
CONJUGAISON
MEQ - 6e
- ⇒ abandonner
- ⇒ ajourner
- ⇒ différer
- ⇒ diminuer
- ⇒ régresser
- ⇒ remettre
- ⇒ renvoyer
- ⇒ replier
- ⇒ retarder
- ⇒ rétrograder
- ⇒ temporiser
- anton. avancer