ruisseler [ʀɥisəle] v.
1 V. intr. Couler, s'écouler de façon continue, en parlant d'un liquide.
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coulers’écouler.« cette pluie ruisselle, se calme et revient, grise et tenace comme leur chagrin » (A. Dessureault-Descôteaux, 1985).
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V. tr. indir.
ruisseler de, sur, etc. (+ lieu) Le sang ruisselle de ses blessures. « des gouttes d'eau, perles irisées, perles vivantes, ruisselaient sur son cou, ses épaules, ses bras » (A. Grandbois, 1945).
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fig. Le soleil « ruisselait sur les façades, enflammait la brique, étincelait aux carreaux » (P. Zumthor, 1994). 2 V. tr. indir. ruisseler de. Être couvert d'un liquide qui coule de façon continue.
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dégoutter. Visage qui ruisselle de larmes, de sueur. « un grand bouquet de lilas ruisselant de pluie » (D. Laferrière, 1985).
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fig. « Tout ruisselait de lumière, les ifs taillés auprès de l'église, les herbes des premières pentes de la plaine ondulante, la ligne frémissante des peupliers » (G. Roy, 1984).
ruisseler de, sur, etc. (+ lieu) Le sang ruisselle de ses blessures. « des gouttes d'eau, perles irisées, perles vivantes, ruisselaient sur son cou, ses épaules, ses bras » (A. Grandbois, 1945).
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fig. Le soleil « ruisselait sur les façades, enflammait la brique, étincelait aux carreaux » (P. Zumthor, 1994). 2 V. tr. indir. ruisseler de. Être couvert d'un liquide qui coule de façon continue.
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dégoutter. Visage qui ruisselle de larmes, de sueur. « un grand bouquet de lilas ruisselant de pluie » (D. Laferrière, 1985).
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fig. « Tout ruisselait de lumière, les ifs taillés auprès de l'église, les herbes des premières pentes de la plaine ondulante, la ligne frémissante des peupliers » (G. Roy, 1984). 
CONJUGAISON
MEQ - AC