rejaillir [ʀəʒajiʀ] v.
1 V. intr. (liquides) Jaillir en étant renvoyé par une surface, un obstacle ou en éclaboussant, sous l'effet d'un choc, d'une pression.
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gicler. « Il neige, pour la première fois cet hiver. [...] L'enfant, tiré par la neige, n'en pouvant plus, s'arrache de la main de sa mère, s'y élance en riant, y patauge comme dans l'eau, y rue, y tombe, la fait rejaillir, s'éclabousse » (R. Ducharme, 1966).
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V. tr. indir.
rejaillir sur. « il coupa l'artère jugulaire de sa victime. Le sang rejaillit sur lui » (Ph. Aubert de Gaspé, fils, 1837). 2 V. tr. indir. fig. rejaillir sur. Retomber sur qqn ou qqch., par une relation de cause à effet. Un peu de sa gloire rejaillit sur nous. « je m'estime fortunée d'avoir côtoyé [...] des gens dont la joie de vivre a rejailli sur moi » (G. Roy, 1984).
rejaillir sur. « il coupa l'artère jugulaire de sa victime. Le sang rejaillit sur lui » (Ph. Aubert de Gaspé, fils, 1837). 2 V. tr. indir. fig. rejaillir sur. Retomber sur qqn ou qqch., par une relation de cause à effet. Un peu de sa gloire rejaillit sur nous. « je m'estime fortunée d'avoir côtoyé [...] des gens dont la joie de vivre a rejailli sur moi » (G. Roy, 1984). 
CONJUGAISON
- ⇒ gicler